Souvenirs sordides s’échouant sur le sable de l’écume de mes rêves, la dernière once de pureté innocente aura donc disparu. Ils auront fini par imbriquer leur corps de la manière la plus simple et la plus efficace qui soit pour s’exprimer sans prononcer une parole durant ce court instant d’infini.
Et parallèlement à mon enfoncement dans les tristes couloirs gris du lycée, mon esprit s’enfonce dans les brumes de l’oubli. Oubli de tout ce que j’ai souhaité, oubli de tout ce que je vis, oubli de tout ce dont je douterai.